Le taux de mortalité de cette maladie varie entre 70 et 90 %. Ce qui s’explique par le fait que ce virus ne s’est pas du tout adapté à l’homme. Contrairement à la plupart des autres virus qui cherchent un hôte pour se propager, le virus empoissonne l’homme qui meurt assez rapidement et le virus s’élimine de lui-même.
Puisque le système immunitaire humain, à ce stade précoce, ne sait pas comment réagir face au virus d’Ebola, ce dernier peut se multiplier très vite dans notre organisme.